Ce site très simple a pour but de porter à la connaissance du public l’existence de concepts économiques potentiellement capables de résoudre le problème de la mauvaise répartition des richesses.
Le communisme et le collectivisme ont fait long feu, permettant au capitalisme et au libéralisme de s’imposer comme les seules théories valables. Nous sommes dans la situation du proverbe qui dit “qu’à défaut de grives, on mange des merles !”
Toutefois, les dégâts que provoquent ces théories économiques, qui s’octroient le titre de sciences, prouvent bien que leur domination mondiale ne se justifie pas. Même les merles disparaissent, malgré le brassage de vent des écologistes.
Le monopole culturel que s’est attribué le libéralisme grâce à la période des “trente glorieuses”,- favorable à un développement basé sur la croissance (après avoir tout détruit par la guerre)-, empêche les autres théories économiques et sociales d’être enseignées dans notre système éducatif. De ce fait tous nos dirigeants, décideurs, administrateurs, fonctionnaires, ainsi que la quasi totalité du monde de l’information sont formés dans le même moule et reproduisent les mêmes clones.
Ce dysfonctionnement de civilisation est tel que les contestataires ne peuvent envisager d’autres solution que l’aménagement du libéralisme pour en minimiser les conséquences. Souvent ces aménagements ne sont qu’adjectifs accolés au nom du processus destructeur : la croissance soutenable, le développement durable, ...
(Sans parler de ceux qui trouvent leur solution dans l’aide charitable.)
Tous ces opposants donnent l’impression de crier en choeur :
“Messieurs les capitalistes, tirez les premiers !”
et s’entendent répondre : “C’est bien aimable, Messieurs ! “
L’un des blocages de notre civilisation réside dans le fait que l’argent, conçu comme outil de l’économie, elle-même au service de la société, est devenu le but de toutes les activités humaines dites “marchandes”. On ne gagne plus de l’argent pour vivre, mais on vit pour gagner de l’argent. La remise en question de la monnaie sera donc un des sujets à étudier particulièrement, même s’il offre moins de plaisir que certains débats d’idées. La monétique est d’ailleurs l’un des domaines les plus fertiles en inventions, mais peu de personnes le savent. Cette réflexion technique débouche aussi sur le rétablissement à leur juste place de toutes les activités non rémunérées, artistiques, intellectuelles, sociales, associatives...
...sans compter le droit à la paresse,
ou tout simplement le droit d’exister !
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