Depuis 1998, La Fondation Copernic travaille à « remettre à l’endroit tout ce que le libéralisme fait fonctionner à l’envers ». Soucieux de son indépendance et restant par principe hors du jeu électoral, Copernic n’est lié à aucun parti politique, aucun syndicat, aucune association mais s’adresse à toutes les organisations politiques, syndicales et associatives ainsi qu’à toutes celles et tous ceux qui ne se résignent pas à l’ordre néolibéral. Par l’intermédiaire de ses groupes de travail (rassemblant des universitaires et des acteurs du mouvement social), dont les conclusions sont éditées sous forme de courtes notes argumentées, Copernic prend part au débat public et tente d’apporter un autre éclairage aux questions sociales et économiques. Résolument engagé auprès de toutes celles et de tous ceux qui luttent pour une société plus juste et solidaire, Copernic diffuse de courts argumentaires (les « Copernic-Flashs ») destinés à outiller les militant-e-s en arguments et en propositions alternatives. Réforme du droit du travail, constitution européenne, réforme de l’assurance maladie, lois sécuritaires… A chaque fois, Copernic informe, analyse, propose.
 
La fondation Copernic est composée de nombreux membres aux activités diverses y compris politiques.
En matière de recherche économique, nous remarquerons Jean-Marie HARRIBEY, qui est aussi écrivain, conférencier infatigable, et co-président d’ATTAC,...
 
Vous trouverez la bibliographie de cet auteur prolixe sur WIKIPEDIA.
 
Note du webmestre : La fondation Copernic, ainsi que ATTAC sont des acteurs de la réalité économique d’aujourd’hui. Ils proposent beaucoup de mesures de corrections, des taxes, etc.  Vous entendrez peu parler dans leurs hémicycles de revenu universel, ou de citoyen, de monnaies sociales, de contrat social...
J’ai tenu à rédiger cette page, parce que malgré tout, dans l’utopie concrète que nous voudrions mettre en place, la critique de la réalité et la résistance à ses méfaits reste une étape importante.
ATTAC est d’ailleurs né de la volonté d’imposer la taxe Tobin, laquelle est loin d’être appliquée et applicable, vu la complexité (toujours croissante) du système monétaire et bancaire, telle que l’a décrite
 François MORIN dans son dernier livre à lire absolument :
    
Le nouveau mur de l'argent
    Essai sur la finance globalisée
    
    Ed. du Seuil 2006